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La  ferme de NIEDERWYHL
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4 août 2014

" UN VILLAGE QUI A DE LA CHANCE "

 

 

 

Le_Coop_rateur_005

 

 

Pendant 30 ans, il y a 30 ans, de 1959 à 1989, le village de Bourbach le Haut était               " un village qui a de la chance ". Il était animé par Monsieur François NUSSBAUM, son Maire dynamique, nommé premier Maire de France en 1976.

 

Mais depuis lors, depuis 30 ans, trois groupes de problèmes perdurent :

-   les nombreuses réalisations emblématiques du Maire de l’époque ont laissé derrière lui, depuis 30 ans, une foule de problèmes,

-   provoquant des procès en cascade depuis 30 ans, pour certains encore en cours,

-   sans oublier les multiples empoisonnements, la plupart aux sels de cuivre, précisément depuis près de 30 ans, empoisonnements non pris en compte par la gendarmerie locale. Ainsi, Bourbach le Haut est aussi  

" un village où les empoisonneurs ont de la chance " !

 

  1. D’abord il y a les réalisations du Maire de l’époque, Monsieur François NUSSBAUM, pendant 30 ans, de 1959 à 1989 qui, pour exécuter ses projets ambitieux a fait le bonheur des uns en laissant une amertume aux autres.

 

Exemple : un malaise qui a marqué son époque et qui a donné lieu à la création de la ferme auberge des Buissonnets :

 

 Les Buissonnets

Voici la maison de repos du Rossberg en 1936, idéalement située, sur un plateau abrité, adossée au Rossberg, avec vue sur la plaine d'Alsace, à 750 m d'altitude.

 

 Les Buissonnets

 Voici cette même maison de repos, devenue colonie de vacances avant l'incendie du 20 avril 1974.

                                                                                                

Les Buissonnets

Ce qui reste de la belle colonie de vacances après l'incendie du 20 avril 1974.

 

 Les Buissonnets

Voici la ferme auberge des Buissonnets construite en 1980 par le Maire Monsieur François NUSSBAUM, en contrebas de l'emplacement de l’ancienne colonie de vacances. 

Ces photos et commentaires sont extraits du blog de Monsieur Serge LERCH : Histoire et tradition : Les BUISSONNETS :http://blhhisto.canalblog.com/

 

La « belle » colonie de vacances, qui au départ était une ferme, déjà citée au début du 20e siècle, située au lieu-dit Les Buissonnets, gérée par les Sœurs de Jeanne d’Arc de Mulhouse, a brûlé en 1974.

Les sœurs ne voulaient pas vendre à Monsieur François NUSSBAUM, Maire du village, leur terrain sur lequel avait brûlé leur maison de vacances.

Alors, celui-ci a construit un peu plus bas en 1980, la ferme auberge des Buissonnets, donnée en gérance jusqu'en décembre 2012 à Monsieur Joël MANSUY, Maire du village et à sa famille, ainsi que des gîtes touristiques pour lancer un tourisme d'avant garde.

Donc M. MANSUY était à la fois gérant de la ferme auberge communale et Maire du village de 2008 à 2012.

Puis le site de la colonie de vacances a été vendu à une famille du village. 

 

  1. Si de nombreux habitants se sont résignés aux différents problèmes réels créés par Monsieur NUSSBAUM, d’autres se sont rebellés et ont  intenté des procès pour obtenir justice, rendant la vie communale acide, avec toujours deux camps, les fervents tenants de l’ancien Maire, c'est-à-dire l'équipe municipale actuelle et les autres.

En 1989, j'ai vécu la campagne électorale à l'issue de laquelle M. NUSSBAUM a perdu les élections. Il est difficile d'imaginer ce qu'un si petit village pouvait abriter de haine. Il régnait dans ce si joli village un tel climat d'injustice et d'indignation créé par tous les problèmes en suspens, qu'il était évident que les habitants se rebellaient  contre des anomalies qu'ils ne pouvaient accepter.   

Je n'avais pas réalisé que nous aussi, nous étions pris dans ce même tourbillon de haine parce que nous avions eu l'impudence d'acheter cette ferme de Niederwyhl, si convoitée, ce que nous ignorions totalement !

Depuis lors, aucun Maire n'a vraiment réussi à " rassembler " tous les habitants du village. 

 

  1. Et voici qu’intervient l’histoire de l’empoisonnement aux sels de cuivre de la ferme de Niederwyhl, une pratique ancestrale de nos campagnes, qui dure également depuis près de 30 ans d'après les expertises judiciaires, ordonnées par le Juge d'instruction et où l’on reparle de l’ancien Maire qui voulait acheter la ferme de Niederwyhl pour en faire une ferme auberge, avec certainement l'assentiment d'une partie des membres du Conseil municipal de l'époque ainsi que d'autres villageois, ou de la revendre.

Il faut noter qu'une expertise judiciaire a validé la contamination de la ferme de Niederwyhl avant notre installation en 1987 par un pesticide à base de sels de cuivre. Par conséquent, les calomnies et les faux témoignages sont vains.

Breaking new : l'Arrêt du 24 mars 2016 de la Chambre de l'Instruction près la Cour d'Appel de Colmar valide la contamination du captage d'eau et des sols avant notre installation dans la ferme de Niederwyhl.

 

J'ai toujours pensé que nous étions victimes à la fois du poison-cuivre mais aussi des rumeurs et des calomnies selon une orchestration vraiment difficile à supporter.

C'est la démonstration scientifique du dépôt de cuivre, de sa persistance et de sa toxicité qui a fait la différence.

Coût : 29 ans de préjudices divers à supporter.  

Les  " empoisonneurs " ont contaminé les sols de la ferme ansi que son captage d'eau avant notre installation, ne nous laissant aucune chance ! Qui a bien pu imaginer une stratégie aussi diabolique ?

Sans le comprendre, nous étions déjà depuis notre venue en 1987, dans une tourmente, celle de l'empoisonnement aux sels de cuivre des sols de la ferme de Niederwyhl avec toutes les conséquences espérées des empoisonneurs : la mort des nouvaux arrivants dans la ferme de Niederwyhl provoquée par le cuivre, la mort des moutons à cause du cuivre, nos terres rendues stériles à cause du cuivre, nos problèmes de santé qui vont persister à cause du cuivre...

Ce que les empoisonneurs n'avaient pas imaginé, c'est que nous arriverions à découvrir et à prouver ces faits, ressucitant le souvenir et la connaissance de la pratique ancestrale française de l'empoisonnement aux sels de cuivre qui a connu ses heures de gloire au 19e siècle.

Au 19e siècle, les tribunaux étaient plus perspicaces qu'aujourd'hui : 369 poursuites devant les tribunaux en 50 ans, de 1835 à 1885 :

 

Titre du livre de BROUARDEL

Tableau des empoisonnements aux sels de cuivre au 19e siècle

 

Aucune poursuite devant les tribunaux depuis lors. Pourquoi ? 

On empoisonne ouvertement ou sournoisement depuis 2000 ans aux sels de cuivre.

Les empoisonnement aux sels de cuivre ont été correctement poursuivis au 19e siècle.

Ils sont ignorés depuis !  Secret d'initiés ? Pratique occultée ? Prédateurs rusés ? Ignorance ?  Incompétence  ?

Lorsque nous sommes arrivés dans cette ferme en 1987, elle était si sale et si abandonnée que nous avons décidé de l'acheter en grande partie par compassion

Un gardien et sa famille composée de 4 à 6 personnes, y habitaient depuis 10 ans. Les rats couraient dans la cour. Les odeurs étaient pestilentielles. Dans le poulailler évoluaient des myriades de poux sur des toiles d'araignées comme dans les films d'épouvante. Les limites des terres étaient indiquées par les orties, les chardons, les friches et les souches abandonnées, des cailloux partout, du barbelé abandonné partout, la rivière obstruée par des vieilleries comme dans les dessins animés. Dans les étables, la bouse de vache tapissait le sol, les murs et le plafond.

Pourquoi cette ferme, qui avait été une ferme modèle, était-elle dans cet état ? Pour qu'elle perde de valeur ? Pour en faire baisser le prix ? Par simple négligence impossible à concevoir ? 

Si le Maire de l'époque avait voulu acheter cette ferme, pourquoi ne l'a-t-il pas fait ? Il pouvait l'acheter, il avait soi-disant déjà une somme conséquente pour l'acheter en tant que président de l'amicale des pompiers qui organisait la célèbe course des côtes pour les voitures comptant pour une épreuve nationale. Il aurait aussi pu très facilement préempter comme Maire du village ! Où est passé ce magot ?

 

Pour obtenir coûte que coûte cette ferme, fallait-il empoisonner ses sols et son captage d'eau ?

Fallait-il rendre ses sols stériles en épandant des sels de cuivre sur les sols ? 

Fallait-il contaminer les arbres et tous les végétaux, le cuivre étant un inhibiteur de croissance ? 

Fallait-il tuer ses habitants et ses animaux en enterrant du poison en amont de leur captage d'eau ?

Pourquoi pas ! Le deal était alléchant : acquérir un domaine en empoisonnant ses sols et son captage d'eau avec environ 20 kg de sels de cuivre, ce qui coûtait à peu près 20 € à l'époque !  Qui dit mieux ?

 

L’empoisonnement criminel aux sels de cuivre de la ferme de Niederwyhl, située à Bourbach le Haut, a été prouvé scientifiquement par des expertises judiciaires, ordonnées par un Juge d'instruction avec toutes les conséquences liées à cette situation. Avec ces éléments enfin rassemblés, une enquête s'imposerait (une enquête est en cours actuellement) pour identifier les auteurs qui se sentent si intouchables qu'ils n'hésitent pas à déposer des sels de cuivre à plusieurs endroits de la commune et même dans une commune voisine, juste pour harceler, juste pour brouiller les pistes, juste pour rigoler !

 

Il est certain que ni les coupables ni leurs assurances n'ont envie de reconnaître les faits pour ne pas être inquiétés, pour ne pas payer les préjudices, pour ne pas créer une jurisprudence, pour ne pas mettre la puce à l'oreille d'autres empoisonnés au cuivre, pour         " ne pas donner des idées " m'a dit très récemment un élu régional.

Facile, personne ne cherche le cuivre dans les autopsies alors que le cuivre s'accumule dans les organismes humains, donc qu'il est détectable et dosable en cas de mort suspecte !

 

Les Maires successifs de Bourbach le Haut ont ignoré les faits. Pour quelle raison ? Pour qu’il ne soit pas dit qu’on empoisonne dans ce beau village de montagne ? 

Le Maire actuel de notre village, ancien paysan,  " ne croit pas " que quelqu'un puisse faire une chose pareille !

Le Maire a ses " hypothèses " : il faudrait peut-être les lui demander !! 

Le paysan qui était le gardien de la ferme jusqu'en 1987 n'avait jamais de problèmes, lui.

Le bûcheron ONF, délégué cantonal de la Mutualité Sociale Agricole d'Alsace, membre du Conseil municipal du village depuis au moins 30 ans m'a traité d' " emmerdeuse " en décembre 2012 ! Pourquoi ?

Il ne s'est plus représenté aux élections en 2014, sa famille ayant gagné le gros lot, la location de la ferme auberge communale des Buissonnets entièrement rénovée, disposant d'un espace de restauration de 120 places, 22 places d'hébergement, 50 ha de terres pour 1000 € / mois, l'ancien occupant étant le Maire du village qui lui a vendu le fonds de commerce de l'auberge communale et le mobilier, d'après lui, conformément à la loi, conseillé par son ami, le Conseiller juridique de la Chambre d'agriculture du Haut-Rhin. Cette location sera certainement à vie, comme l'a été la location au Maire sortant, alors que les autres fermes auberges de ce réseau de " ferme auberge d'étape ", nouvellement créé, remettent leur contrat en jeu tous les 5 ans dans le cadre d'une délégation de service public.

Le journaliste sportif de l'Équipe Magazine, Stefan L'HERMITTE insiste : " Pot de terre contre pot de fer... les combats usent...traquer la vérité est un sacerdoce. ". Il m'avait prévenu en juin 2013 : " Partez, " ils " sont plus forts que vous ! C'est eux qui renseignent la gendarmerie " ! C'est qui ces " eux " ?

De nombreux journalistes nous ont rendu visite. Comment se fait-il que précisément un journaliste sportif nous prodigue des conseils précis dans une histoire aussi compliquée ?

 

1ère rédaction le 12 février 2014 - modification le 23 juillet 2014 - 21 août 2015 - 22 mai 2016

 

          

 

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