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La  ferme de NIEDERWYHL
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14 octobre 2014

La procédure criminelle est encore en cours depuis janvier 2002 et révèle des problèmes avec les Médecins légistes.

 

 

Nous nous sommes installés en famille dans la ferme de Niederwyhl le 1er mai 1987.

Toutes sortes de surprises nous y attendaient. Les rumeurs étaient endiablées. Les sols étaient stériles. Les iris et les rosiers que nous avons plantés, dépérissaient. Les agneaux mouraient, puis les moutons adultes.

Ma mère décède en octobre 1992 dans d'effroyables douleurs. Le rapport d'autopsie évoque une stéatose et une péritonite.

Nous plantons près de 150 arbres fruitiers en 1993. Ils restent chétifs, petits (le cuivre est un inhibiteur de croissance) et n'ont commencé à donner quelques rares fruit qu'au bout de 20 ans !

J'ai déposé plainte en 1994 pour dépôts de poisons en forêt domaniale voisine de la ferme de Niederwyhl. Les chasseurs de la forêt communale de Masevaux auraient mis des poisons dans les places d'agrainage des chasseurs de la forêt domaniale de Masevaux pour faire fuir les sangliers ! Aucune mortalité n'a été déclarée par les chasseurs victimes.

Nos moutons qui mouraient de façon suspecte, seraient allés en forêt domaniale, manger ce maïs empoisonné. Ce serait l'explication de cette mortalité suspecte. de nos moutons. Or, le " poison " des chasseurs identifié aurait du provoquer une mortalité foudroyante, mais nos moutons mettaient des mois à dépérir. L'autopsie d'un mouton au début de 1995 révélait un foie " cirrhosé " du à une intoxication chronique mais pas avec le poison des chasseurs !

Nous avons rencontré de nuit, l'Agent de l'ONF, en costume d'apparat, qui faisait des rondes pour traquer " l'empoisonneur " en se faisant payer des heures sup. Or l'adjudicataire de la chasse communale de Masevaux était en famille avec l'Agent de l'ONF et avec l'ancien gardien de la ferme de Niederwyhl. Donc cette histoire était à prendre avec des pincettes.

Plainte classée sans suite.

J'ai redéposé plainte en 1998 pour empoisonnement, lorsque notre captage a été trouvé contaminé par des sels de cuivre. La plainte a été classée sans suite.

Deux enquêtes de la gendarmerie de Masevaux ont eu lieu en 1998 et en 1999 à la suite de mes courriers à la Ministre de la Justice et au Ministre de la Santé.

Le rapport de la gendarmerie de 1999 était particulièrement révoltant.

Il affirmait entre autres que les gendarmes avaient fait des prélèvements à l'intérieur et à l'extérieur de la propriété, ce qui était inexact.

Il parlait des déclarations de l'ancien gardien de la ferme comme quoi celui-ci aurait laissé en partant des " sacs portant la mention PEC-RHIN ", alors que ce fabricant ne mettait pas son nom sur ses sacs d'engrais et plus surprenant encore, l'ancien gardien de la ferme récuse avoir fourni le détail de cette inscription au gendarme qui a fait le rapport.

Par ailleurs, je me serais " refusée " à épandre de la chaux pour bloquer le cuivre alors que j'en ai épandu 31 tonnes de 1988 à 1992.

Ce rapport de la gendarmerie de Masevaux sert encore de fait aujourd'hui les intérêts des empoisonneurs.

 

J'ai déposé plainte avec constitution de partie civile en janvier 2002 pour tentative d'empoisonnement lorsque nous avons eu la certitude que le captage d'eau communal de Houppach/Masevaux était lui aussi contaminé par des sels de cuivre. La Mairie de Masevaux a déposé plainte en 2002 mais aucune enquête n'a eu lieu jusqu'à ce jour !

Le juge d'Instruction a procédé à un " Transport sur les lieux " en mars 2003. Il était accompagné de sa Greffière et d'un Stagiaire, de 3 personnes de la Brigade criminelle de Colmar, de deux personnes de la gendarmerie de Thann et de Masevaux, du Secrétaire général de la Mairie de Masevaux, de deux Avocats. J'étais présente.

En décembre 2003, le Juge d'Instruction a ordonné des prélèvements de terre et d'eau à différents endroits de la Ferme de Niederwyhl et en dehors de celle-ci. L'Expert est venu en personne, pendant 2 jours, faire les différents prélèvements demandés. L'Expert a rendu son expertise en avril 2004. Elle établissait que les sols et le captage d'eau de la ferme avaient été contaminés avant notre installation dans cette ferme en 1987 par un pesticide composé de sels de cuivre et de dithiocarbamates,  toxique pour les animaux, les végétaux et les personnes.

C'est notre ferme qui était visée puisqu'à la suite des prélèvements intérieurs et extérieurs de la propriété réalisés par l'Expert judiciaire, les sols de la ferme étaient contaminés, pas les sols de l'ONF, notre voisin ! C'est exactement ce que les gendarmes de Masevaux n'ont pas pu ou n'ont pas voulu mettre en évidence en 1999.

A la suite de cette expertise d'avril 2004, le Juge d'Instruction ordonne une expertise judiciaire médico-légale pour savoir si mon employé et moi, nous sommes contaminés. Alors commence la série des " problèmes " avec les Médecins légistes.

 

  • Dans son expertise judiciaire du 12 juillet 2005, le Docteur Pascal KINTZ donne comme valeurs de cuivre dans mes cheveux : 10,3 ; 14,5 et 19,4 µg/g pour ses valeurs normales comprises entre 8,3 et 112 µg/g. Il conclut : " il n'y a pas de surexposition au cuivre ".

Or l'INÉRIS jDRC-02-25590-02DF54.doc Version N°1-4décembre 04 , page 20, énonce " Une augmentation du taux de cuivre dans les cheveux (705,7 µg/g versus 8,9 µg/g chez le témoin) ".

La compilation de la Bibliothèque Nationale Américaine de Médecine, édition 2000-4, traduite par l'Instruction, page 33, dit : " " 706 µg de cuivre dans les cheveux par rapport à 9 µg/g pour un groupe de référence ", c'est donc bien 9 µg/g qui est la valeur de référence en France et aux États-Unis et non des " valeurs normales comprises entre 8,3 et 112 µg/g. " 

 

  • Dans son expertise judiciaire du 18 août 2005, le Dr Maryelle KOLOPP de l'Institut Médico-légal de Strasbourg, estime notre absorption journalière à " 66 mg de cuivre par jour, soit environ 1 mg/kg et par jour ". " Néanmoins, il existe un cas décrit de surcharge en cuivre chez l'homme (ingestion de 30 à 60 mg/kg et par jour pendant 2 à 3 ans), associé à une cirrhose. "

En fait, ce cas a été rapporté par l'INÉRIS jDRC-02-25590-02DF54.doc Version N°1-4décembre 04, page 22 : " Un jeune homme a présenté une cirrhose micronodulaire et une insuffisance hépatique aigüe suite à l'absorption quotidienne pendant 2 ans de comprimés contenant 30 mg cuivre. Cette première période d'exposition a été  suivie par une consommation journalière de 60 mg de cuivre pendant une période indéterminée avant l'apparition des symptômes...L'analyse du taux de cuivre contenu dans son foie après transplantation..."

La Médecin légiste aurait du signaler au Juge d'Instruction que nous étions en danger  d'hépatite aigüe avec notre absorption de 66 mg de cuivre par jour, surtout au bout des 18 ans de notre vie dans cette ferme de 1987 à 2005 et que personne ne nous ferait de transplantation de foie.

 

  • Dans son expertise judiciaire du 3 janvier 2006, le Docteur Pascal KINTZ de l'Institut Médico-légal de Strasbourg,  propose au Juge d'Instruction de rechercher dans nos cheveux " toute trace de pesticide " et conclut : " il n'a pas été trouvé de ziram ni de thiram dans les cheveux " : " Ces produits (mancozeb, manèbe, zineb, ziram, thiram) sont essentiellement utilisés pour repousser les oiseaux ", alors que ce sont les fongicides les plus utilisés en France.

 

L'expertise judiciaire collégiale d'octobre 2006, page 26, précise : " La recherche de composés dithiocarbamiques " dans les cheveux était probablement inutile , compte tenu de ce que les chances de ces composés d'arriver comme tels dans les cheveux à l'issue d'une ingestion sont pratiquement nulles.

 

  • De 2007 à 2009, le Dr POUPON du Laboratoire de Toxicologie Biologique de l'Hôpital Lariboisière de Paris, omet de répondre au Juge d'Instruction.

 

Lettre du Parquet du Procureur de la République de Mulhouse du 22 octobre 2009 : " Je puis vous informer que M. POUPON s'est vu retirer sa mission par le Juge d'Instruction ".

 

  • Dans son expertise judiciaire du 4 juin 2008, le Docteur Jean-Sébastien RAUL de l'Institut Médico-légal de Strasbourg précise : " il n'est pas possible d'affirmer avec certitude que cette symptomatologie soit en rapport direct et exclusif avec l'intoxication dont Madame SINGER a pu être victime ". "Les blessures peuvent être consolidées à la date de la présente expertise, sous réserve que la patiente ne consomme plus d'eau contaminée, ni de fruits et de légumes contaminés. "

 

 

Et pendant ce temps, nous sommes malades et sans ressources.

 

 

Conclusion : Les Médecins légistes ignorent la toxicité des sels de cuivre et comme la Justice leur fait confiance, les empoisonneurs aux sels de cuivre sont peinards !

 

 

 

 

 


 

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Commentaires
A
J'écris d'Italie, j'ai été guéri par le Dr Jekawo, un phytothérapeute traditionnel qui a guéri de nombreuses maladies comme le VIH/sida, l'herpès, le diabète, la maladie de Parkinson, la sclérose en plaques, l'hépatite et le cancer. Un de mes amis m'a dit de contacter le Dr Jekawo et après l'avoir contacté, il m'a ensuite préparé un médicament à base de plantes qui a complètement guéri mon hépatite et mon cancer de la prostate après avoir bu ses médicaments à base de plantes pendant 15 jours. Je suis tellement reconnaissante en ce moment et j'ai envie de partager ceci ici afin que tout le monde puisse être soigné par le Dr Jekawo. ses coordonnées e-mail sont : drjekawo@gmail.com il guérit tant de maladies et ils l'appellent un grand guérisseur.<br /> <br /> <br /> <br /> Merci à l'administrateur du blog.
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