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La  ferme de NIEDERWYHL
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14 avril 2019

Trois minutes pour comprendre l'empoisonnement de la ferme de Niederwyhl avec des Sels de cuivre.

par Anne Marie SINGER,

Propriétaire de la ferme de Niederwyhl en Alsace,

empoisonnée avec des Sels de cuivre avant l’installation de sa famille en 1987,

selon une pratique criminelle ancestrale. 

Diplômée en droit public de la faculté de droit de Strasbourg,

Diplômée en lettres des Universités de Strasbourg et de Nanterre,

Présidente de l’Association Cuivre, Santé et Environnement,

Membre fondateur de l’Association « Parcs et Jardins d’Alsace ».

Préfacé par André Picot, Toxicochimiste, initiateur de la Toxicochimie.

 

Sommaire

Préface par André Picot

Dédicace

Introduction

En quelques dates, nos découvertes concernant l’usage dévoyé des Sels de cuivre hydrosolubles comme poison, depuis la nuit des temps.

Avant propos :

  • C’est où Bourbach-le-Haut, le village où on empoisonne encore avec des Sels de cuivre ? 
  • « La » découverte qu’empoisonner avec des Sels de cuivre est une pratique.
  • Les Sels de cuivre sont-ils vraiment toxiques ? 

Première partie  

Définition du « Cuivre hydrosoluble » communément appelé « Sels de cuivre ».

Deuxième partie

Réflexions sur la cupidité et la corruption en général depuis « le déluge ».

Troisième partie

 Empoisonner avec des sels de cuivre est un secret d’initiés : historique.

 Quatrième partie

 1642 à 1997 : La ferme de Niederwyhl à Bourbach-le-Haut en  Alsace.

 Cinquième partie

 1998 à 2019 : Un combat judiciaire de plus de 20 ans met finalement en évidence notre surcharge toxique en Cuivre, donc notre intoxication chronique au Cuivre.

 Sixième partie

 Nos recettes de décontamination des sols et des personnes.

 Conclusion.

 Annexes : pièces jointes. 

 Bibliographie concernant la toxicité des Sels de cuivre.

 

Introduction :

Jour après jour, depuis 32 ans, le poison-cuivre, toxique et persistant, s’incruste dans le captage d’eau et les sols de la ferme de Niederwyhl, située à « Bourbach-le-Haut, ce joli « village des poisons » en Alsace.

Les Sels de cuivre toxiques et persistants sont encore utilisés en agriculture en France pour traiter le mildiou des vignes, bien qu’ils rendent les sols stériles.

Les Sels de cuivre ont un lourd passé. Ils ont servi secrètement de poison depuis des millénaires. Ils sont le « fantasme de l’empoisonnement lent, indétectable, secret et impuni, nourrissant cette idée que le mal peut l’emporter sur la science, le rationnel, la morale », selon Magali Bloch, en 1997, dans « La difficile répression du crime d’empoisonnement », page 123.

Mais nous avons percé définitivement le secret des empoisonnements criminels avec des Sels de cuivre, très faciles à démontrer dorénavant, parce que le Cuivre est persistant.

Après 30 ans ( ! ) de recherches d’explications scientifiques à nos multiples problèmes et après 20 ans ( ! ) de procédure criminelle, la Chambre de l’Instruction de la Cour d’appel de Colmar a admis, le 6 juillet 2017, « la contamination par du Cuivre soluble (communément appelés Sels de cuivre, toxiques et persistants), du captage d’eau, des conduites et des sols de la ferme de Niederwyhl, avant notre installation en 1987 et que nos troubles de santé, ceux des habitants de la ferme de Niederwyhl, ont un lien de causalité avec cette exposition. Qu’elle en soit remerciée.

L’Instruction est débordée. Les « empoisonneurs » courent encore.

 Nous ne sommes toujours pas dédommagés.

 Nous sommes malades et sans ressources.

 Le captage d’eau et les sols de la ferme de Niederwyhl sont encore « contaminés ».

 Des méthodes de décontamination existent. Il suffit de…

 Nous avons des projets pour « l’après ». 

 

 

 

 

 

 

 

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