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La  ferme de NIEDERWYHL
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22 octobre 2022

HALLUCINANT, effrayant ! Bourbach-le-Haut, ce joli village alsacien si verdoyant, est bien le village des poisons.

«  …Bizarre, cette herbe jaunâtre ? » Normal, les prés et le captage d’eau sont totalement cuivrés ! »

…un livre essentiel pour comprendre la toxicité des Sels de cuivre.

Le mystère de la ferme de NIEDERWYHL à Bourbach-le-Haut est enfin résolu !

 

 Comment nous avons activement participé à briser le secret de l’empoisonnement criminel ancestralavec des Sels de cuivre hydrosolubles, toxiques, non biodégradables, donc persistants :

 

par Anne Marie SINGER,

Propriétaire de la ferme de Niederwyhl en Alsace, empoisonnée délibérément

avec des Sels de cuivre hydrosolubles, toxiques, persistants donc non biodégradables, donc persistants, selon une pratique criminelle ancestrale, occultée et dissimulée avant l’installation de notre famille en 1987 dans cette jolie ferme par la SAFER D’ALSACE.

 

Diplômée en droit public de la faculté de droit de Strasbourg,

Diplômée en lettres des Universités de Strasbourg et de Nanterre,

Membre fondateur de l’Association « Parcs et Jardins d’Alsace ».

 

 

Préface d’André PICOT, Toxicochimiste.

 

Cette pratique est adroitement dissimulée dans notre milieu rural.

 

L’impunité est en général le fantasme de tout empoisonneur méticuleux. Malheureusement pour lui, les substances utilisées laissent la plupart du temps des traces qui ont souvent  des conséquences plus graves qu’escomptées… car la Science est en perpétuelle progression !

C’est cette hécatombe inexplicable et inexpliquée des 850 moutons empoisonnés de la ferme de Niederwyhl située à Bourbach-le-Haut en Alsace, précédée de l’empoisonnement du chien des nouveaux arrivants le jour du départ des anciens gardiens de la ferme, ses sols volcaniques devenus stériles et les graves problèmes de santé des habitants de cette ferme, qui ont permis de mettre en lumière, au prix d’innombrables difficultés, la stratégie des empoisonneurs aux Sels de cuivre hydrosolubles qui, en 1987, au moment de l’installation de la famille SINGER, convoitaient cette ferme car admirablement bien située à l’orée de la Forêt vosgienne.

Dix sept ans après, en 2004 (2), la première expertise chimique judiciaire de Jean-Pierre CASTILLO, Directeur du Laboratoire départemental d’analyses de la Drôme, a mis en évidence et dosé les différentes substances toxiques adsorbées sur un morceau de PVC provenant d’une bouteille enterrée en amont du captage d’eau privé de la ferme de Niederwyhl (3), lieu dont il fallait particulièrement bien connaître l’emplacement pour agir avec autant de précision.

Cette expertise a également révélé que du Cuivre toxique sous forme hydrosoluble s’est déposé dans les sédiments du captage d’eau alimentant la ferme, à partir de l’arrivée d’eau naturelle d’une source située en amont.

Puis ce poison s’est ensuite fixé sur les parois des conduites d’eau. C’est ainsi qu’il a pu être caractérisé, dosé et le moment de son dépôt déterminé avec précision avant l’installation de la famille SINGER dans cette ferme.

Cette mise en évidence très pertinente, sera essentielle pour la suite de l’enquête, qui sera une véritable course d’obstacles qui va encore durer plus d’une décennie, car à l’époque, la toxicité des Sels de cuivre était soit ignorée, soit occultée, laissant depuis des siècles, le champ libre aux empoisonneurs qui les utilisaient !  

Les Sels de cuivre étaient doublement intouchables, parce qu’ils servaient de poison depuis l’antiquité et parce qu’ils étaient devenus depuis la fin du 19e siècle, la panacée de la lutte essentiellement contre le mildiou des vignes.

Finalement, le 10 avril 1996, M. PARGUEY, Président d’un Groupement d’élevage ovin de Haute Saône (4) a demandé à Anne Marie SINGER de lui décrire par téléphone comment mouraient les moutons de la ferme de Niederwyhl. Alors cela lui a rappelé ce que lui-même avait subi, victime du même procédé, à savoir « un empoisonnement aux Sels de cuivre ». Il a conclu : « vous n’arriverez jamais à le prouver car personne n’y est jamais arrivé ». Et pourtant il suffisait simplement de vérifier si du Cuivre avait bien été  déposé délibérément sur les sols de la ferme pour empoisonner les moutons.

Cet acte de vandalisme totalement interdit a mis Anne Marie SINGER sur la voie d’une pollution de ses prés. Ainsi des chasseurs malveillants, dont certains étaient en famille avec les anciens gardiens de la ferme, avaient déposé du maïs à un endroit bien précis du pré où paissaient ses moutons et ceci pour attirer les sangliers qui en ont profité évidemment pour saccager la pâture. Alors, Anne Marie SINGER a effectué deux prélèvements pour analyse chimique par le Laboratoire départemental d’analyses de la Drôme, le premier étant à l’endroit bien précis du sol où du maÏs avait été volontairement déposé sur le pré pour attirer les sangliers qui l’ont évidemment retourné, l’autre sur le pré tout en descente, n’importe où. De plus, un prélèvement a été effectué sur le foie d’un mouton décédé après avoir brouté dans cette pâture. Les résultats apportés par le Laboratoire de la Drôme le 10 mai 1996 sont sans appel : « Vos résultats : toxicité avérée au Cuivre sur deux prélèvements », l’un d’herbe, l’autre du foie du mouton » (5).

Quant au toxique, il pouvait s’agir, selon les analyses chimiques réalisées en 2004 sur le fragment de plastique PVC et dans les dépôts des conduites d’eau de la ferme, d’un produit de traitement de vigne contre le mildiou à base de Sels de cuivre hydrosolubles.

Malgré les sarcasmes orchestrés du voisinage, heureusement de nombreuses expertises judiciaires concordantes et de plus cohérentes sont intervenues, en particulier l’expertise judiciaire collégiale de 2006 (6) dont la synthèse a été faite par Alain LUGNIER, professeur de Toxicologie à l’Université de Strasbourg et Expert Toxicologue près la Cour d’Appel de Colmar. Par ailleurs les expertises judiciaires géochimiques de 2011 de Jacques YVON, professeur de Minéralogie appliquée à l’Université de Nancy, n’ont cessé d’apporter des précisions essentielles sur les effets toxiques des Sels de cuivre, ainsi que leur persistance et leur accumulation dans les sols, les rendant à la longue stériles.

À partir de 2007, l’Association Toxicologie – Chimie (ATC, Paris), spécialisée dans la « traque » de produits chimiques toxiques, suite à une demande d’Anne Marie SINGER, s’est intéressée à cette étrange intoxication aux Sels cuivriques, qui correspond en effet à une méthode d’empoisonnement usuelle de nos campagnes françaises depuis des siècles, mais qui semblait, fait étrange, depuis plusieurs décennies, tombée dans l’oubli.

La suspicion initiale de Masame SINGER de l'empoisonnement à long terme par un Sel de cuivre hydrosoluble s’est avérée exacte, suite à l’audition en 2011 par Monsieur le Juge d’Instruction de Bertrand DEBRET, directeur du Service Agriculture durable et Communication de la Société allemande BASF, qui a émis l’hypothèse qu’il pourrait s’agir de l’AVISO CUP de BASF, un produit à base de Sels cuivriques.

Finalement le produit responsable de ces intoxications qui ont touché la ferme a enfin été identifié définitivement en 2016 par le vendeur professionnel local de produits phytosanitaires pour la viticulture, ALSACE APPRO, comme étant effectivement l’AVISO CUP de BASF, « le premier et seul produit de traitement de vignes pour lutter contre le mildiou, à base de Sels de cuivre hydrosolubles, de Zinc et de Dithiocarbamates, en vente en Alsace depuis le 1er décembre 1983, date de sa première autorisation de mise sur le marché »(7).

En tant que toxicochimistes, selon notre stratégie, nous avons effectué une recherche bibliographique approfondie sur la toxicité des Composés du Cuivre… la littérature américaine étant particulièrement importante.

On savait que le Cuivre, sous forme ionisée hydrosoluble (Cu+ et Cu++) est un oligoélément essentiel, qui le plus souvent agit en association avec son proche cousin le Fer (Fe++ et Fe+++), en particulier dans la biosynthèse de l’Hémoglobine, notre pigment sanguin, transporteur du Dioxygène (O2) essentiel à la vie.

Par contre, le Cuivre sous sa forme hydrosoluble en excès et à long terme, devient un toxique redoutable, s’accumulant de façon privilégiée dans le foie, qu’il détruit progressivement.

À partir de ces données, nous avons réalisé une synthèse, accessible pour les non scientifiques… ce qui pouvait être très utile aux victimes, à leurs défenseurs, à la Justice… peut-être même à la Science ?

Grâce à l’aide de l’historien Guillaume MALAURIE, nous avons redécouvert la pratique des empoisonnements criminels et accidentels du 19e siècle, aux Sels de cuivre hydrosolubles. Puis, un étrange silence s’est installé… une omerta soigneusement entretenue.

De par sa détermination, Anne Marie SINGER a réussi à soulever ce voile qui, encore récemment, entourait les empoisonnements par certains Sels de cuivre hydrosolubles.

La contamination volontaire de la ferme de Niederwyhl par des Sels de cuivre hydrosolubles, toxiques et persistants avant l’installation par la SAFER D’ALSACE de la famille SINGER en 1987 dans cette ferme, a été définitivement reconnue le 6 juillet 2017 par la Chambre de l’Instruction de la Cour d’Appel de Colmar, présidée par Mme Frédérique JOVET, en ces termes (8) :

« - la contamination du sol, des dépôts des canalisations et des eaux de la ferme de Niederwyhl provient d'un apport exogène de Cuivre soluble (communément appelés Sels de cuivre), non présent dans le milieu à l'état naturel, dont la date peut être fixée avant mai 1987 soit avant l'installation de la famille SINGER à la ferme de Niederwyhl, » (sans en préciser les conséquences tant pour les habitants que pour leur environnement),

« - Mme Marie-Jeanne SINGER (la mère d’Anne Marie Singer) a été exposée au Cuivre et les troubles de santé présentés par les occupants de la ferme ont un lien de causalité avec cette exposition », (sans préciser lesquels),

 et… ceci en particulier grâce au plaidoyer très efficace de Maître Marie-Odile Bertella-Geffroy du Barreau de Paris.

« -  L'information n'a pas permis d'identifier le ou les auteurs de la contamination du sol, des dépôts des canalisations et des eaux de la ferme de Niederwyhl par le Cuivre ».

Les pertes de dents des habitants de la ferme de Niederwyhl, leur stéatose hépatique, ainsi que les résultats des dosages sanguins récents et alarmants d’Anne Marie SINGER et de Frédéric ILTIS, particulièrement l’augmentation de leur Céruléoplasmine plasmatique, l’une des Protéines enzymatiques qui est aussi un des transporteurs principaux du Cuivre dans le sang, apporte la preuve le 14 octobre 2019 (9) de leur intoxication à long terme au Cuivre, selon le professeur Alain LUGNIER, Professeur agrégé de Toxicologie à la Faculté de Pharmacie de Strasbourg déjà cité.

De ce fait, leurs problèmes de santé vont aller en s’aggravant, malgré leur consommation journalière d’eau de source du commerce, avec en plus un accompagnement médical constant depuis 2003 qui durera tant que le captage d’eau et les sols  de la ferme resteront « contaminés avec des Sels de cuivre hydrosolubles, toxiques et persistants », composés  qui de ce fait malheureusement resteront non biodégradables, car en Chimie classique, les atomes sont stables dans le temps…

D’un point de vue historique, depuis sa reconstruction en 1642, la Ferme de Niederwyhl a accueilli sans problèmes des troupeaux entiers de bovins et de moutons.

Quelle tristesse, car maintenant ses sols ont été rendus définitivement stériles et toxiques par l’épandage malveillant d’un composé du Cuivre… une pratique ancestrale et comme on l’a vu criminelle, mais qu’il ne faut surtout pas reconnaître en France !!!

 

Et voilà le secret de l’empoisonnement criminel aux Sels de cuivre dans toute sa splendeur !!!

 

Après tant de vicissitudes, ces sols sont dorénavant très favorables à l’élevage de chevaux pour lesquels le Cuivre est un oligoélément essentiel. A titre d’information, ce tableau ci-dessous récapitule les taux de Cuivre à ne pas dépasser par jour pour l’alimentation de divers  animaux domestiques communs (10) :

800 mg de Cuivre par kg de Matière Sèche pour les chevaux,

30 mg de Cuivre par kg de Matière Sèche pour les bovins.

15 mg de Cuivre par kg de Matière Sèche pour les moutons et les chèvres.

Ces chiffres mettent bien en évidence, que pour les ovins et les caprins et même les bovins, les composés du Cuivre épandus sur les sols de Niederwyhl sont fortement toxiques.

A signaler que selon les dosages de l’expertise judiciaire chimique du 2 mars 2004 (3), les sols de la forêt domaniale voisine de la ferme de Niederwyhl présentent une moyenne de 9,3 mg de Cuivre par kg de Matière Sèche – ce qui devrait aussi être le cas pour les sols voisins - alors que les prés de la ferme de Niederwyhl, à 20 mères d’écart, juste derrière les bornes, présentent une moyenne de 24,15 !!! mg Cu/kg MS, que le potager de la ferme a été dosé à 41 mg !!! Cu/kg MS toujours selon les dosages de l’expertise judiciaire chimique.

Les résultats de l’expertise judiciaire chimique de 2004 concernant l’eau de la ferme de Niederwyhl sont les suivants, alors que la norme locale dans les sédiments du captage devrait plafonner à 20 mg de Cuivre par kg de Matière Sèche :

Il a été dosé 11300 mg de Cuivre / kg de Matière Sèche, soit 11,3 g de Cuivre !!! dans les sédiments du captage d’eau de la ferme de Niederwyhl et 993 mg de Cuivre/ kg de Matière Sèche sur les parois d’une conduite d’eau du jardin !

Il faut repréciser encore que ce Cuivre déposé délibérément sur les sols et dans le captage d’eau de la ferme de Niederwyhl restera dans son état initial car il est persistant.

Monsieur le Maire du village de BOURBACH-LE-HAUT a émis l’hypothèse de l’existence de résidus de Cuivre dus au traitement dans le passé des cultures de pommes de terre de la ferme de Niederwyhl contre le mildiou ou comme désherbant… mais des photos anciennes révèlent sur ces sols des élevages de moutons apparemment en bonne santé pendant des siècles et aucune culture de pommes de terre… sur la totalité des parcelles de la ferme contaminée par du Cuivre, ni comme désherbant… sur les sols et les tombes du cimetière du village !

Les dernières données du VIDAL (dictionnaire médical français) de 2014, précisent que la dose de Cuivre recommandée pour l’Homme par jour est comprise entre 1,5 à 3 mg (11). Les « 66 mg de Cuivre » ingéré par jour par les habitants de la ferme selon l’expertise médico-légale de 2005 du Docteur Maryelle KOLOPP étaient donc un résultat particulièrement… alarmant, pourtant admis à l’époque comme normal par l’ensemble des Experts légistes alsaciens !

 

La décontamination du captage et des conduites d’eau ne doit en principe pas poser de problèmes, il suffit de… refaire les installations de captage et d’adduction d’eau ! Concernant les sols, le Cuivre les a rendus définitivement stériles ! 

 

Le Cuivre s’accumule dans les premières couches du sol. Il est persistant, il n’est donc pas biodégradable. C’est la caractéristique de beaucoup d’éléments minéraux.

 

Ceci est  confirmé par l’Agence régionale de Santé des Hauts de France concernant le dépôt de Plomb autour de l’ancienne fonderie MÉTALEUROP ! Ceci est également confirmé par M. Jean-Luc PETIT, en agriculture biologique et biodynamique dans les Hautes-Alpes. Selon ce Consultant, on peut penser qu’il devrait être possible de neutraliser l’action néfaste du Cuivre dans le sol par la formation d’un complexe organo-minéral non toxique, donc en rajoutant de la matière organique, du fumier décomposé par exemple, ou d’attendre que les arbres survivants aient des racines qui consentent à descendre plus bas que la contamination puisque le Cuivre reste fixé en surface des sols et ne migre pas en profondeur.

 

Le 20 juillet 2022, lors du déplacement de notre Ministre de l’Agriculture en Allemagne, les deux Ministres Marc FEYNAUD et son homologue Cem OZDEMIR, concernant les produits phytopharmaceutiques ont conclut qu’ « il n’y aura pas d’interdiction sans solutions » (12). Les Sels de cuivre pourraient être remplacés par le fongistatique Bicarbonate de sodium : https://jardinage.lemonde.fr/dossier-4088-mildiou-assainir-sol.html.

 

Il me reste à émettre un vœu : que la ferme de Niederwyhl et ses magnifiques forêts vosgiennes qui l’entourent retrouvent la sérénité et une prospérité amplement méritées… suite au combat sans relâche d’Anne Marie SINGER, contre ces pratiques locales d'empoisonnements criminels aux Sels de cuivre hydrosolubles, toxiques et persistants, bien occultées, et ceci aidée de son fidèle collaborateur  Frédéric ILTIS… mais aussi de ses Médecins, de sa famille, de ses amis, de ses Avocats et surtout de ces nombreux Scientifiques, eux par qui cette vérité est apparue.

                  (Pour connaître avec précision le taux de Cuivre de vos sols, faites le doser par le    

                             Laboratoire départemental d’analyses de la Drôme : LDA 26.) (13)

Selon le site « Arthrolink » (14), spécialisé en risques liés à l’arthrose : « certaines maladies métaboliques peuvent entraîner de l’arthrose, des crises inflammatoires à répétition, causées par  une concentration trop élevée de Cuivre dans l’organisme ». Et par ailleurs, selon le professeur Frédéric LIOTÉ de l’Hôpital Lariboisière de Paris (15), Anne Marie SINGER souffrirait de « scoliose radiologique vraie » et de « problèmes ostéoarticulaires » dus à la « toxicité directe du Cuivre ». Avis aux arthrosiques ! Qu’ils fassent également doser le Cuivre dans leur eau et leur nourriture !

 

Ni les Élus locaux, ni les autorités départementales, agricoles et forestières, ni les Experts légistes n’ont réussi ou pu ou voulu, pendant ces décennies de lutte des victimes contre le Poison-Cuivre, prendre en compte la situation très préoccupante des habitants de la ferme de Niederwyhl, celle de leurs animaux, de leurs végétaux et de leurs sols agressés par ces Sels de cuivre hydrosolubles toxiques, non biodégradables donc persistantsde crainte que le secret de l’empoisonnement aux Sels de cuivre ne soit éventé !!!

Les conséquences de la contamination par du Cuivre hydrosoluble du sol et des eaux de la ferme de Niederwyhl ainsi que « les sévères atteintes à la santé de ses occupants » dus à leur lente exposition au Cuivre hydrosoluble toxique, persistant et stable en milieu biologique, déposé avant leur installation, sont maintenant démontrées.

Devant une telle réalité scientifique, que les SAFER et la JUSTICE assument rapidement et définitivement leurs responsabilités, la vie des victimes est en jeu,

 

la survie de cette ferme plusieurs fois centenaire aussi !

 

Et plus généralement aussi, la santé des consommateurs susexposés au Cuivre !

 

Chevreuse, le 22 octobre 2022,

André PICOT

Toxicochimiste

Directeur de Recherche honoraire du CNRS

Expert français honoraire auprès de l’Union Européenne pour la Fixation des Normes des Produits chimiques en Milieu de Travail, Commission SCOEL, Luxembourg (1992 - 2004).

Président de l’Association Toxicologie-Chimie (ATC) Paris, www.atctoxicologie.fr/.

 

Pièces jointes :

  1. www.expressio.fr/expressions/lever-soulever-un-lièvre
  1. Expertise judiciaire chimique réalisée par Jean-Pierre CASTILLO, le 21 avril 2004.
  1. Dosages réalisés par l’Expert Judiciaire, Jean-Pierre CASTILLO, le 2 mars 2004.
  1. Dires de Paul PARGUEY du 10 avril 1996 et attestation du 08.08..2003.
  1. 10 mai 1996 : « Concernant le Cuivre : toxicité avérée à partir de deux résultats ».
  1. Expertise judiciaire collégiale du 30 octobre 2006.
  1. ALSACE APPRO, 20 décembre 2016.
  1. Extraits du 6 juillet 2017 de l’Arrêt de la Chambre de l’Instruction de la Cour d’Appel de Colmar.
  1. 14 octobre 2019, intoxication au Cuivre par le Professeur Alain LUGNIER.
  1. « La toxicité des Sels de cuivre hydrosolubles divalents  (Cu++) »,

              par André PICOT, Toxicochimiste et Jean-François NABONNE, Toxicologue –   

              Nutritionniste, 16 avril 2016.

  1. VIDAL de 2014, la dose de Cuivre recommandée par jour est comprise entre 1,5 et 3 mg de Cuivre.
  1. 20 juillet 2022, déplacement du Ministre Marc FEYNAUD en Allemagne, les deux ministres définissent les axes d’une coopération renforcée.
  1. LDA 26 : 37 avenue de Lautagne, BP 118, 26904 VALENCE cedex 9.
  1. ARTHROLINK
  1. Professeur LIOTÉ de l’Hôpital Lariboisière, les conséquences de la « toxicité directe du Cuivre ».
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