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La  ferme de NIEDERWYHL
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31 mai 2022

Dissimulation de l'empoisonnement par des Sels de cuivre toxiques et persistants de l'eau et des sols de la ferme de Niederwyhl.

 

Lettre à Monsieur Marc FESNEAU

                       Ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire

HOTEL DE VILLEROY

78 rue de Varenne

 

Objet : Demande de mettre un terme et de compenser dans les meilleurs délais la dissimulation par la SAFER D'ALSACE  de l’empoisonnement délibéré de l’eau et des sols de la ferme de NIEDERWYHL par des Sels de cuivre toxiques et persistants selon une pratique moyenâgeuse, avant l'installation de notre famille en 1987 dans cette ferme.   

 

Les faits :

-          Comme attributaires préférentiels de la ferme de Niederwyhl par la SAFER D’ALSACE, nous avons été d'abord accueillis en 1987 par l’empoisonnement de notre chien le jour du départ des anciens gardiens de la ferme,

-          après notre arrivée nous avons eu à affronter de nombreuses calomnies ainsi que

-          les harcèlements des forestiers de la forêt domaniale voisine gérée par l’ONF locale. Ces forestiers sont en famille avec les anciens gardiens de la ferme.

-          Nous  devons vous signaler la découverte de la survivance dans nos campagnes françaises de la pratique sournoise des empoisonnements aux Sels de cuivre, dite impossible à démontrer. Pourtant nous avons enfin réussi à briser cet obstacle avec l’aide de nombreux scientifiques reconnus, issus d’universités européennes incontestées.

 

Le bilan de nos préjudices est désastreux :

-                            nos préjudices physiques sont identifiables : nos prises de sang régulières depuis 1996 indiquent clairement notre intoxication au Cuivre sans réaction des autorités concernées, « mort prématurée » de ma mère suite à son empoisonnement au Cuivre et maintenant ma scoliose et mes problèmes ostéoarticulaires « dus à la toxicité directe du Cuivre » telle que mis en évidence par le professeur Frédéric LIOTE, Rhumatologue de l’hôpital Lariboisière de Paris,

-                            nos préjudices agricoles sont conséquents : mort progressive de 850 moutons  empoisonnés au Cuivre, 32 ha de sols rendus définitivement stériles par l’épandage de Cuivre, dépérissement de nombreuses plantations d’arbres fruitiers et de végétaux, obsolescence de notre matériel agricole et forestier, perte de plus de 2000 ha d’exploitation,

-                            nos préjudices matériels sont évidents : perte d’exploitation de nos terres définitivement contaminées par du Cuivre, refus de la SAFER de reconnaître les faits jouant de son nom et de son statut d’ « inatteignable », pour brouiller les pistes et pour ne pas être déclarée responsable.

-                            Heureusement, l’historique des empoisonnements aux Sels de cuivre depuis l’antiquité en général ainsi que les constats d’empoisonnements aux Sels de cuivre en France au 19e, au 20e et au 21e siècle ci-joint, nous indiquent que finalement empoisonner avec des Sels de cuivre est reconnu comme  étant « une pratique secrète française » que nous sommes arrivés à identifier et à démontrer. Nous vous demandons de participer à nous aider à rétablir dans les meilleurs délais les activités de cette ferme convoitée, reconstruite en 1642 donc plusieurs fois centenaire, car jusqu’à présent la justice n’a pas réussi à nous défendre.  

 

 

 Monsieur le Ministre,

 

Nous reconnaissons avoir été pris dans le piège des empoisonnements au Cuivre de l'eau et des sols avant notre installation le 1er mai 1987 dans la ferme de Niederwyhl, située à Bourbach-Le-Haut dans le Haut-Rhin en Alsace.

 

Aujourd’hui, nos terres définitivement contaminées par des Sels de cuivre ne sont plus aptes à un élevage d’animaux domestiques classiques. Seule la plantation d’arbres fruitiers selon une méthode qui empêche le Cuivre de polluer leurs racines, est possible ! Notre ferme dans son environnement forestier, doit être orientée vers des activités à développement de santé, de loisirs et de repos, avec toute l’infrastructure qu’elles supposent.

 

De plus je tiens à faire valoir ma scoliose et mes derniers problèmes ostéoarticulaires provoqués par « la toxicité directe du cuivre » qui se traduisent par des chutes multiples récentes avec fracture de côtes, prothèse totale de la Hanche et maintenant fracture multiple de l’Humérus avec obligation de la pose d’une prothèse totale de l’épaule gauche et le tout, curieusement sans ostéoporose ! Et mon employé, Frédéric ILTIS, qui n’est pas payé, souffre de problèmes intestinaux persistants à rattacher également à son intoxication au Cuivre ! Nos premiers symptômes à tous étaient les douleurs abdominales et nos pertes de dents.

 

Signalons encore l’éclatement de ma famille, horrifiée par le combat de survie que nous devons mener, isolée par nos autorités et même par la presse… pour qu’il ne soit pas dit que les Sels de cuivre servent encore à tuer en France !

 

Il est donc grand temps que vous, autorité française qualifiée, vous reconnaissiez dans les meilleurs délais que les empoisonnements criminels aux Sels de cuivre existent encore en France, que nous en sommes victimes puisque nul autre que vous, notre Ministre, ne peut le reconnaître, les tribunaux n’en ayant pas la compétence. Que les viticulteurs utilisent encore les Sels de cuivre pour lutter contre le mildiou, puisqu'il s'agit d'une pratique à la fois acceptée et discutée, les vignes ayant des racines profondes ( entre 5 et 10 mètres donc hors d'atteinte du mildiou) et que le Cuivre ne migre que très peu en profondeur, celà peut s'expliquer. Mais que des pâtures soient " contaminées " par du Cuivre, cela relève d'une pratique pour nuire que nous avons mis du temps à comprendre et à prouver scientifiquement et ce, pour la première fois en France. Il convient que vous en tiriez toutes les conclusions.

 

Je demande également à la Ministre des Solidarités et de la Santé, Madame Brigitte BOURGUIGNON,  de soutenir notre cause. C’est grâce à la compétence et au dévouement de nos médecins que nous avons pu survivre en suivant leurs recommandations.

 

Je souhaite évidemment que madame Elisabeth BORNE, notre Première Ministre, prenne connaissance de ces pratiques déviantes de nos campagnes, dites impossibles à prouver, mais pour lesquelles nous avons réussi à « briser le secret » pour ce qui nous concerne et pour toutes les victimes qui se trouveraient dans notre cas.

 

Je vous remercie pour votre attention ainsi que pour votre aide qui sera pour nous essentielle. Je vous prie d’agréer, Monsieur le Ministre, l’assurance de toute ma considération.

 

Anne Marie SINGER

 

Pièces jointes :

Quelques exemples de la pratique des empoisonnements au cuivre au 19e, 20e et 21e siècle :

-          1814 : ORFILA, Médecin légiste,

-          1902 : BROUARDEL, Médecin légiste,

-          1996 : La pratique des empoisonnements aux Sels de cuivre par M. PARGUEY, éleveur professionnel de moutons, victime du même procédé,

-          1999 : Figaro Magazine du 16 janvier 1999,

-          2000 : BASTARACHE, Médecin du Travail, la pratique française vue du Canada,

-          2015 : NUNINGER, Maire honoraire, ancien responsable de l’atelier Chimie de l’Usine Thann Mulhouse.

 

-           TABLEAU des résultats de dosages sanguins depuis 1996 pour Mme SINGER (SI.) et M. ILTIS (Il.)

-          7 novembre 1997 et 16 décembre 1997 : Constats de l’Ecole nationale vétérinaire de Giessen à FRANCFORT en Allemagne.

-          25 janvier 1999 : Avis du professeur STERN, Directeur du Laboratoire de Géochimie de BÂLE, membre du Bureau de la Chambre Suisse des  experts judiciaires.

-          Expertise judiciaire chimique française du 21 avril 2004 avec ses dosages du 2 mars 2004 et extraits de l’expertise française judiciaire collégiale du 30 octobre 2006.

-          2013 : L’étude du Dr Frédéric LIOTE, professeur de Rhumatologie de l’Hôpital Lariboisière de Paris sur les conséquences ostéoarticulaires de la « toxicité du cuivre », étude découverte en 2020.

-          2016 : « La Toxicité des Sels de cuivre hydrosolubles divalents » par les professeurs André PICOT, Toxicochimiste reconnu et Jean-François NARBONNE, Toxicologue – Nutritionniste reconnu, étude du 16 avril 2016.

-          les extraits de l’Arrêt de la Chambre de l’instruction du 24 mars 2016 puis du 6 juillet 2017.

2022 : Préface du livre de Mme SINGER  par André PICOT, Toxicochimiste : « Comment nous avons participé à briser le secret de l’empoisonnement criminel ancestral avec des Sels de cuivre hydrosolubles… persistants ». 

 

PS : Après mes 3 fractures de côtes en 2020, ma prothèse totale de hanche en 2021, je dois me faire opérer dans quelques jours en 2022 d’une fracture multiple de l’Humérus, à la suite d’une chute mécanique, ces fractures étant imputables à l’arthrose dont nous souffrons provoquant des crises inflammatoires à répétition, due une concentration trop élevée de Cuivre dans notre organisme selon nos résultats de dosages sanguins, comme par exemple la présence élevée de Céruléoplasmine signant notre intoxication au Cuivre…

à distinguer de l’ostéoporose qui est une maladie diffuse caractérisée par une diminution de la densité des os, ce dont je ne souffre pas d’après l’ostéodensitométrie réalisée en 2020.

CI-JOINT ARTHROLINK, cause des maladies métaboliques de l'arthrose : ex concentration trop élevée de CUIVRE dans l'organisme.           

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